Bagan: Au temple en emporte le vent !
Arrivée humide vers 4h du matin avec le bus de nuit depuis Yangon. Le voyage a été très agréable : bus au top, sièges très inclinables, télé personnelle à chaque siège avec des films en anglais, petite colation gratos, et tout ça pour le billet le moins cher qu'on ai trouvé sur ce trajet ! Rassurez-vous, les autres trajets (bus, bateau) ne nous ont pas sourit...
Le premier choc, c'est le prix à payer pour accéder à Bagan : 20$ par personne ! Ca paraît un peu disproportionné par rapport au cout de la vie, et quand on voit le nombre de touristes qui passent par cette ville, ils doivent en brasser du pognon pour construire de nouveaux temples !
A 5h du mat, le réceptionniste de l'hotel qu'on vient de réveiller et qui ne comprend plus trop où il est, nous laisse très gentillement les clefs de la chambre qu'on a réservé pour la nuit suivante car elle est vide : Ils sont vraiement adorables ces Birmans !
Les temples sont éparpillés sur une telle surface qu'il est indispensable de louer un vélo ou un e-bike (scooter électrique). On a opté pour le vélo pour faire un peu de sport : top les 2 premiers jours, le 3ème le genoux d'Adèle s'est bloqué après qu'on ai roulé ¾ d'heure pour aller voir le lever de soleil... Il a fallu que je pédale pour deux pour rentrer à l'hotel ; le petit déj à l'arriver (et les pancakes) seront salvateurs.
Pour revenir à Bagan : il y a des temples, des bouddhas, des pagodes, en veux-tu en voilà ! De toutes les couleurs (rouges, blancs, dorés), toutes les hauteurs, en ville ou en pleine végétation, avec la possibilité de monter dessus (ou pas) pour admirer les couchers/lever de soleil.
Anecdote intéressante : le site n'est pas classé au patrimoine mondial de l'UNESCO car les restaurations, notamment après un tremblement de terre de 1975, n'ont pas été faites dans les règles de l'art... Tant pis pour ces têtes de lard : nous on l'aurait donné 100 fois !
Le premier choc, c'est le prix à payer pour accéder à Bagan : 20$ par personne ! Ca paraît un peu disproportionné par rapport au cout de la vie, et quand on voit le nombre de touristes qui passent par cette ville, ils doivent en brasser du pognon pour construire de nouveaux temples !
A 5h du mat, le réceptionniste de l'hotel qu'on vient de réveiller et qui ne comprend plus trop où il est, nous laisse très gentillement les clefs de la chambre qu'on a réservé pour la nuit suivante car elle est vide : Ils sont vraiement adorables ces Birmans !
Les temples sont éparpillés sur une telle surface qu'il est indispensable de louer un vélo ou un e-bike (scooter électrique). On a opté pour le vélo pour faire un peu de sport : top les 2 premiers jours, le 3ème le genoux d'Adèle s'est bloqué après qu'on ai roulé ¾ d'heure pour aller voir le lever de soleil... Il a fallu que je pédale pour deux pour rentrer à l'hotel ; le petit déj à l'arriver (et les pancakes) seront salvateurs.
Pour revenir à Bagan : il y a des temples, des bouddhas, des pagodes, en veux-tu en voilà ! De toutes les couleurs (rouges, blancs, dorés), toutes les hauteurs, en ville ou en pleine végétation, avec la possibilité de monter dessus (ou pas) pour admirer les couchers/lever de soleil.
Anecdote intéressante : le site n'est pas classé au patrimoine mondial de l'UNESCO car les restaurations, notamment après un tremblement de terre de 1975, n'ont pas été faites dans les règles de l'art... Tant pis pour ces têtes de lard : nous on l'aurait donné 100 fois !
En parlant de lever de soleil, on a assisté à l'un des plus beau depuis le début de notre voyage, ça valait le coup de se lever à 5h du mat pour faire du vélo !
On a réussi à trouver temple où l'on a pu monter au sommet, on devait être 8 touristes (et pas 200 comme sur celle plus loin), une petite brume matinale et des touristes qui ont eu la bonne idée de faire un tour en mongolfière (300$ par personne quand même...) pour qu'on puisse apprécier cet instant magique vu de la terre !
On a réussi à trouver temple où l'on a pu monter au sommet, on devait être 8 touristes (et pas 200 comme sur celle plus loin), une petite brume matinale et des touristes qui ont eu la bonne idée de faire un tour en mongolfière (300$ par personne quand même...) pour qu'on puisse apprécier cet instant magique vu de la terre !
Les lumières à l'intérieur des temples donne une atmosphére assez surréaliste ; on se sent plongé dans une autre époque ! Sauf quand un jeune moine décide de faire un selfie avec moi (quel succés cette barbe quand même!) ; j'en ai profité pour en faire un avec mon appareil également.
La musique matinale aussi donne un aspect irréel : quand on s'est levé pour aller voir ce famueux lever de soleil, de la musique traditionnelle résonnait fort dans les rues encore noires et désertes. Si on a bien compris ce sont les moines qui font péter les watts tôt le matin pour que la journée se passe bien. Si j'étais leur voisin, je ne suis pas sur que leurs chanssonettes me mettent de bonne humeur tous les jours à 5h du mat...
La musique matinale aussi donne un aspect irréel : quand on s'est levé pour aller voir ce famueux lever de soleil, de la musique traditionnelle résonnait fort dans les rues encore noires et désertes. Si on a bien compris ce sont les moines qui font péter les watts tôt le matin pour que la journée se passe bien. Si j'étais leur voisin, je ne suis pas sur que leurs chanssonettes me mettent de bonne humeur tous les jours à 5h du mat...
Mont Popa
On a fait un tour du côté du Mont Popa avec Romain et Amandine qu'on avait rencontré à Manang au Népal: c'est un cailloux qu'il faut gravir via un tat de marches jonchées de singes : Ils sont beaucoup moins cool que les Birmans ceux là ! Ca court partout, ça vous guette, ça fait flipper... Bref on est content quand on est arrivé la haut (n'est-ce pas Romain?). Surtout que la vue est plutôt sympas : on domine toute la vallée.
"Croisière" Bagan - Mandalay
Une alternative agréable pour rejoindre Mandalay depuis Bagan en remontant la rivière.
On a opté pour l'option « slow boat » : 2 jours et 1 nuit sur le bateau. Le confort est assez... spartiate ! On s'installe sur le pont où on nous met à disposition deux chaises en plastiques et une natte. On passera la nuit encré en pleine brousse. Ce qui est marrant c'est qu'on est les seuls touristes, juste une vingtaine de locaux feront le voyage avec nous.
Le voyage aurait pu être très agréable si je n'avais pas chopé une intoxication alimentaire surprenante : je suis allé aux toilettes plus de fois en 24 heures qu'en 1 mois en Mongolie : plus d'une vingtaine de fois ! Mais pas de crampe d'estomac ni de fièvre !
Au début ça faisait rire les Birmans de me voir passer avec mon petit rouleau de papier, mais quand j'ai du en racheter un et que je suis retourné aux toilette pour la dixième fois ils ont commencé à avoir peur pour moi : ils m'ont offert des médocs et voulait même m'emmener à l'hosto ! Mais rappelez vous : on dort en pleine brousse, donc cette idée d'hosto m'effraie un peu.
Avant d'aller me coucher j'avale deux sachets de smecta pour essayer de plâtrer mon estomac : j'ai failli tomber dans les vapes 2 minutes après ! J'ai pas eu de mal à m'endormir ! Par contre c'est la pauvre Adèle qui n'en a pas fermé l'œil pour vérifier si je respirais encore !
Et le lendemain matin, après avoir dormi comme une masse sur le plancher : plus rien ! Les Birmans sont venu prendre de mes nouvelles et étaient soulagés que j'aille mieux. Je le répète encore : ils sont d'une gentillesse !
On n'aura pas pu profiter de cette ballade à fond donc, j'ai plus admiré la porte des toilettes que les rives de la rivière, mais voyons le bon côté des choses : si on avait voyagé en bus, l'attente jusqu'à la pause toilette aurait était longue, très longue...
On a opté pour l'option « slow boat » : 2 jours et 1 nuit sur le bateau. Le confort est assez... spartiate ! On s'installe sur le pont où on nous met à disposition deux chaises en plastiques et une natte. On passera la nuit encré en pleine brousse. Ce qui est marrant c'est qu'on est les seuls touristes, juste une vingtaine de locaux feront le voyage avec nous.
Le voyage aurait pu être très agréable si je n'avais pas chopé une intoxication alimentaire surprenante : je suis allé aux toilettes plus de fois en 24 heures qu'en 1 mois en Mongolie : plus d'une vingtaine de fois ! Mais pas de crampe d'estomac ni de fièvre !
Au début ça faisait rire les Birmans de me voir passer avec mon petit rouleau de papier, mais quand j'ai du en racheter un et que je suis retourné aux toilette pour la dixième fois ils ont commencé à avoir peur pour moi : ils m'ont offert des médocs et voulait même m'emmener à l'hosto ! Mais rappelez vous : on dort en pleine brousse, donc cette idée d'hosto m'effraie un peu.
Avant d'aller me coucher j'avale deux sachets de smecta pour essayer de plâtrer mon estomac : j'ai failli tomber dans les vapes 2 minutes après ! J'ai pas eu de mal à m'endormir ! Par contre c'est la pauvre Adèle qui n'en a pas fermé l'œil pour vérifier si je respirais encore !
Et le lendemain matin, après avoir dormi comme une masse sur le plancher : plus rien ! Les Birmans sont venu prendre de mes nouvelles et étaient soulagés que j'aille mieux. Je le répète encore : ils sont d'une gentillesse !
On n'aura pas pu profiter de cette ballade à fond donc, j'ai plus admiré la porte des toilettes que les rives de la rivière, mais voyons le bon côté des choses : si on avait voyagé en bus, l'attente jusqu'à la pause toilette aurait était longue, très longue...
Bagan tu nous as charmé!