Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins : à bicyclette !
Une belle activité à faire de La Paz : la descente de la route de la mort à vélo !
Pourquoi ce surnom de « ruta de la muerte » (ou « death road » en anglais, « route de la mort » en français... Je m'arrête là pour les traductions)? Cette piste était jusqu'au début des années 2000 empruntée par les véhicules : autant les voitures que les camions et les bus. Rien d'exceptionnel jusque là me direz-vous. Et quand on vous apprend qu'ils avaient obligation de rouler avec avec le chauffeur côté précipice (donc le sens de croisement des voitures pouvait changer) ? Pourquoi ? Tout simplement car la route est très étroite, à flanc de montagne, et qu'il y sur la plupart du trajet un apic de près de 1000m ! A certain endroits : impossible de se croiser ! Il y avait alors des manœuvres périlleuses. Beaucoup d'accidents mortel à déplorer sur cette piste. D'où le nom, certe peu enviable, de cette route de l'extrême ! Et il faut avouer que c'est peu rassurant quand on s'apprête à enfourcher un vélo pour l'emprunter...
Pourquoi ce surnom de « ruta de la muerte » (ou « death road » en anglais, « route de la mort » en français... Je m'arrête là pour les traductions)? Cette piste était jusqu'au début des années 2000 empruntée par les véhicules : autant les voitures que les camions et les bus. Rien d'exceptionnel jusque là me direz-vous. Et quand on vous apprend qu'ils avaient obligation de rouler avec avec le chauffeur côté précipice (donc le sens de croisement des voitures pouvait changer) ? Pourquoi ? Tout simplement car la route est très étroite, à flanc de montagne, et qu'il y sur la plupart du trajet un apic de près de 1000m ! A certain endroits : impossible de se croiser ! Il y avait alors des manœuvres périlleuses. Beaucoup d'accidents mortel à déplorer sur cette piste. D'où le nom, certe peu enviable, de cette route de l'extrême ! Et il faut avouer que c'est peu rassurant quand on s'apprête à enfourcher un vélo pour l'emprunter...
Beaucoup d'agences proposent cette activité, et le prix varie surtout en fonction... des équipements du vélo ! On peut choisir un vélo : tout suspendu, suspension seulement à l'avant, aucune suspension et aussi : freins hydrauliques, freins à cable, double disque, un seul disque, aucun disque... Et moins le vélo est équipé, moins c'est cher... mais plus ça peut être dangereux !
On a tranché : on a pris du milieu de gamme : fouche à l'avant et pas à l'arrière, freins hydrauliques avec disque à l'avant et pas à l'arrière, et enfin roue à l'avant et à l'arrière quand même !
Adèle a préféré ne pas nous accompagner et prendre la journée pour récupérer de ses mots de ventre (et du dernier 6000m).
Ce qui est bien avec cette activité, c'est que même si c'est du vélo, on ne fait que descendre : 3600m de dénivelé négative (départ à 4700m, arrivée à 1100m)
Et la piste est maintenant fermée à la circulation. Sauf riverains, donc ne pas trop s'emballer qd même !
Le mini-bus nous emmène au point de départ. Sous un radieux soleil on prend un ptit déj (au maté de coca pour l'altitude), on écoute les consignes et on enfouche nos vélo ! La première partie se passe sur la nouvelle route. Une heure à fuser sur l'enrobé !
On reprend le bus pendant quelques minutes et on arrive ensuite au point de départ de la piste cette fois, et dans les nuages...
Pendant 4h on alterne belles pointes de vitesse (avec quelques sueurs froides, on va pas se le cacher), arrêts repos et goûter, petits franchissement de ruisseaux...
On s'est régalé ! Pas de douleur particulière dans les bras (merci la suspension et le frein hydraulique à l'avant !)
On a tranché : on a pris du milieu de gamme : fouche à l'avant et pas à l'arrière, freins hydrauliques avec disque à l'avant et pas à l'arrière, et enfin roue à l'avant et à l'arrière quand même !
Adèle a préféré ne pas nous accompagner et prendre la journée pour récupérer de ses mots de ventre (et du dernier 6000m).
Ce qui est bien avec cette activité, c'est que même si c'est du vélo, on ne fait que descendre : 3600m de dénivelé négative (départ à 4700m, arrivée à 1100m)
Et la piste est maintenant fermée à la circulation. Sauf riverains, donc ne pas trop s'emballer qd même !
Le mini-bus nous emmène au point de départ. Sous un radieux soleil on prend un ptit déj (au maté de coca pour l'altitude), on écoute les consignes et on enfouche nos vélo ! La première partie se passe sur la nouvelle route. Une heure à fuser sur l'enrobé !
On reprend le bus pendant quelques minutes et on arrive ensuite au point de départ de la piste cette fois, et dans les nuages...
Pendant 4h on alterne belles pointes de vitesse (avec quelques sueurs froides, on va pas se le cacher), arrêts repos et goûter, petits franchissement de ruisseaux...
On s'est régalé ! Pas de douleur particulière dans les bras (merci la suspension et le frein hydraulique à l'avant !)
Et pour se requinqueren bas ? Un bon gros barbeuc ! Poulet, Chorizo, frites, riz... Le tout avec la piscine ! What else !
Puis c'est déjà l'heure du retour. Heureusement la remontée se fait en minibus sur la nouvelle route. Cela nous prendra quand même 3 heures.
Arrivé à La Paz on rejoint Adèle pour qui la ournée détente s'est passé comme sur des roulettes, et au salon de manucure : c'est mignon n'est-ce pas?
Puis c'est déjà l'heure du retour. Heureusement la remontée se fait en minibus sur la nouvelle route. Cela nous prendra quand même 3 heures.
Arrivé à La Paz on rejoint Adèle pour qui la ournée détente s'est passé comme sur des roulettes, et au salon de manucure : c'est mignon n'est-ce pas?
Ca y est, on est officiellement des « death road survivor » !
Après ces nouvelles belles émotions, la tête encore remplie de ces beaux paysages, on va se coucher avec nos amis... "Et puis Paulette !"
Après ces nouvelles belles émotions, la tête encore remplie de ces beaux paysages, on va se coucher avec nos amis... "Et puis Paulette !"