Hissez haut, Santiago !
Ca y est, on attaque vraiment le continent sud américain ! Et on commence avec le Chili qui a tant à offrir ! Enfin, façon de parler car c'est pas les même tarifs qu'en Asie ici...
On a aussi changé de langue, et cette fois c'est nous qui parlons comme des vaches espagnoles ! Mais on réussit à se faire comprendre et on connaît nos classiques : Cerveza, vino tinto, queso con pan... Et on en apprend un très utile : ampanada ! C'est une espèce de chausson salé fourré le plus souvent à la viande ; c'est pas chère et souvent très bon (gras, mais bon, mais gras).
On n'a passé que 2 jours à Santiago, notre but étant de descendre le plus vite possible vers le sud avant que le grand froid arrive.
On a pu profiter des parcs, des marchés (encore et toujours) et on s'est fait quelques plaisirs : figues, fraises, fromage, noix, crêpes au chocolat (fait par un français qui a une petite roulotte dans la rue)...
Pas mal de murs recouvert de beau dessins. Certaines peintures fraiches font part de la grogne des jeunes envers le coup des études.
On a loupé le marathon de Santiago (comme ceux de Pékin, de Chiang Mai, du Népal...), qui se déroulait le même WE que celui de Paris ; plus possible de s'inscrire, sinon on aurait bien participé à l'évènement.
Pas grand chose à raconter de plus car on ne s'y est pas attardé.
Maintenant direction : LE SUD !
On a aussi changé de langue, et cette fois c'est nous qui parlons comme des vaches espagnoles ! Mais on réussit à se faire comprendre et on connaît nos classiques : Cerveza, vino tinto, queso con pan... Et on en apprend un très utile : ampanada ! C'est une espèce de chausson salé fourré le plus souvent à la viande ; c'est pas chère et souvent très bon (gras, mais bon, mais gras).
On n'a passé que 2 jours à Santiago, notre but étant de descendre le plus vite possible vers le sud avant que le grand froid arrive.
On a pu profiter des parcs, des marchés (encore et toujours) et on s'est fait quelques plaisirs : figues, fraises, fromage, noix, crêpes au chocolat (fait par un français qui a une petite roulotte dans la rue)...
Pas mal de murs recouvert de beau dessins. Certaines peintures fraiches font part de la grogne des jeunes envers le coup des études.
On a loupé le marathon de Santiago (comme ceux de Pékin, de Chiang Mai, du Népal...), qui se déroulait le même WE que celui de Paris ; plus possible de s'inscrire, sinon on aurait bien participé à l'évènement.
Pas grand chose à raconter de plus car on ne s'y est pas attardé.
Maintenant direction : LE SUD !