D'Erlian à Beijing
Le passage de frontière s'étant effectué sans soucis (voir article sur la Mongolie), on cherche maintenant le moyen de rejoindre Pékin. On cherche la station de bus et là premier choc : personne ne comprend le mot bus... Et c'est pas le dessin du bus qu'Adèle à fait sur une feuille qui va nous aider...
Tant pis on décide de marcher dans une direction. Un jeune chinois nous accoste et parle quelques mots d'anglais : il a l'air content de parler à des européens, ce qui doit pas être courant dans le coin vu comment les gens nous dévisagent. Il nous indique la gare routière : bingo ! Ou presque, il nous faut de l'argent pour pouvoir payer les billets.
Direction la banque pour faire du change : s'il vous reste des tugrit : essayez de les changer à UB car à Erlian les taux proposés sont assez dégueu... En plus à la banque la guichetière commençait à trier nos billets : « non celui là est déchiré, celui là est salle, celui-là trop petit, celui-là je l'aime pas... » ; au total elle nous mettait près de 10€ de côté ! Donc moi non plus j'ai pas aimé et j'ai récupéré notre argent. Finalement on a changé à la gare routière avec une maman qu'on avait refoulé parce que le taux qu'elle nous proposait 30mn plut tôt était bas... Elle a du bien rigoler !
Pour nous remettre de ces petites émotions, on décide d'aller manger notre premier plat chinois: quel régal! Ca change du mouton de Mongolie. La carte doit comprendre 20 pages de plats qui ont l'air plus apetissant les uns aue les autres! Il n'y a pas d traduction mais des images, c'est aussi bien. On prend un plat pr 2 (6€) qui se révèlera être un plat pour 5 ou 6... On est reparti avec nos ptits « dogi bag », bien utile pour le bus.
Le trajet jusqu'à Pékin s'effectue en bus couchette : assez confortable mais court ! Sachant que je ne fais que 1,75m, je compatis pour les plus de 1,80m... Sur ce point les chinois ont pas trop de problème.
On a pas réussi à comprendre combien de temps devait durer le trajet;
Nous: « Le bus arrive à quelle heure demain ? »
La vendeuse de ticket: « 2h du mat, il roule pendant 8h »
Nous : « Ca marche pas : on part à 14h30 ! »
La vendeuse de ticket: « Oui oui, c'est ça »
Ca sert à rien de s'énerver, le bus arrivera quand il arrivera, donc on monte quand même dans le bus. On arrivera finalement à 0h30 à Pékin (Beijing pour les gens à la page). Quelques gens descendent d'autres ne bougent pas : on comprend qu'on peut dormir dans le bus jusqu'au matin. Très bonne idée : vu l'heure et comme on a rien réservé, on fait une prolongation jusqu'à 7h du mat !
Tant pis on décide de marcher dans une direction. Un jeune chinois nous accoste et parle quelques mots d'anglais : il a l'air content de parler à des européens, ce qui doit pas être courant dans le coin vu comment les gens nous dévisagent. Il nous indique la gare routière : bingo ! Ou presque, il nous faut de l'argent pour pouvoir payer les billets.
Direction la banque pour faire du change : s'il vous reste des tugrit : essayez de les changer à UB car à Erlian les taux proposés sont assez dégueu... En plus à la banque la guichetière commençait à trier nos billets : « non celui là est déchiré, celui là est salle, celui-là trop petit, celui-là je l'aime pas... » ; au total elle nous mettait près de 10€ de côté ! Donc moi non plus j'ai pas aimé et j'ai récupéré notre argent. Finalement on a changé à la gare routière avec une maman qu'on avait refoulé parce que le taux qu'elle nous proposait 30mn plut tôt était bas... Elle a du bien rigoler !
Pour nous remettre de ces petites émotions, on décide d'aller manger notre premier plat chinois: quel régal! Ca change du mouton de Mongolie. La carte doit comprendre 20 pages de plats qui ont l'air plus apetissant les uns aue les autres! Il n'y a pas d traduction mais des images, c'est aussi bien. On prend un plat pr 2 (6€) qui se révèlera être un plat pour 5 ou 6... On est reparti avec nos ptits « dogi bag », bien utile pour le bus.
Le trajet jusqu'à Pékin s'effectue en bus couchette : assez confortable mais court ! Sachant que je ne fais que 1,75m, je compatis pour les plus de 1,80m... Sur ce point les chinois ont pas trop de problème.
On a pas réussi à comprendre combien de temps devait durer le trajet;
Nous: « Le bus arrive à quelle heure demain ? »
La vendeuse de ticket: « 2h du mat, il roule pendant 8h »
Nous : « Ca marche pas : on part à 14h30 ! »
La vendeuse de ticket: « Oui oui, c'est ça »
Ca sert à rien de s'énerver, le bus arrivera quand il arrivera, donc on monte quand même dans le bus. On arrivera finalement à 0h30 à Pékin (Beijing pour les gens à la page). Quelques gens descendent d'autres ne bougent pas : on comprend qu'on peut dormir dans le bus jusqu'au matin. Très bonne idée : vu l'heure et comme on a rien réservé, on fait une prolongation jusqu'à 7h du mat !