C'est toujours particulier un passage de frontière terrestre. Celle là n'y a pas coupé !
On était tous les 4 (avec nos amis Français) à bord d'un bus reliant Phnom Penh à Ho Chi Minh (ou Saigon pour les retraités). Avant le passage de frontière le copilote du bus veut nous prendre nos passeports pour les faire tamponner « plus vite », sous entendu « avec un billet dedans ». On refuse et on décide de se débrouiller seul.
A la frontière on sort du bus, on récupère nos sacs comme tout le monde (inspections par la douane) et on se présente devant un agent de la police des frontières qui est inoccupé. Il nous indique gentiment que la fille d'attente se trouve à côté et qu'il faut qu'on fasse la queue : il y a une vingtaine de coréens pas dégourdis devant nous...
Après 30/45 mn on a enfin le fameux tampon d'entrée apposé sur nos passeport : hourrah !
Reste plus qu'à remonter dans le bus ! Sauf que dehors il n'y a plus notre bus... Le copilote a du vouloir se venger et ils se sont barrés sans nous ces salops !
On scrute les bus qui sont en attentes de leurs passagers et, coup de bol, un bus de la même compagnie qui fait le même trajet ! Le copilote refuse de nous laisser monter car ce n'est pas notre bus. On attend 5mn qu'il ai le dos tourné, on met nos sacs en soute et on file faire un sitting au fond du bus. Au début il ne nous voit pas mais forcément quand le bus est plein et qu'il manque des places, il vient vérifier. Il veut nous mettre dehors mais on lui montre notre ticket, on lui « explique » (en fait on lui hurle) que son collègue nous a laissé ici comme des malpropres et qu'on bougera pas, et il cède ! Le fait aussi de voir 3 barbouses en colères l'a fait flippé !
Bref, après 3 heures passées assis dans l'allée centrale sur des sièges plastiques certainement volés à la crèche, on arrive enfin à Ho Chi Minh !
On était tous les 4 (avec nos amis Français) à bord d'un bus reliant Phnom Penh à Ho Chi Minh (ou Saigon pour les retraités). Avant le passage de frontière le copilote du bus veut nous prendre nos passeports pour les faire tamponner « plus vite », sous entendu « avec un billet dedans ». On refuse et on décide de se débrouiller seul.
A la frontière on sort du bus, on récupère nos sacs comme tout le monde (inspections par la douane) et on se présente devant un agent de la police des frontières qui est inoccupé. Il nous indique gentiment que la fille d'attente se trouve à côté et qu'il faut qu'on fasse la queue : il y a une vingtaine de coréens pas dégourdis devant nous...
Après 30/45 mn on a enfin le fameux tampon d'entrée apposé sur nos passeport : hourrah !
Reste plus qu'à remonter dans le bus ! Sauf que dehors il n'y a plus notre bus... Le copilote a du vouloir se venger et ils se sont barrés sans nous ces salops !
On scrute les bus qui sont en attentes de leurs passagers et, coup de bol, un bus de la même compagnie qui fait le même trajet ! Le copilote refuse de nous laisser monter car ce n'est pas notre bus. On attend 5mn qu'il ai le dos tourné, on met nos sacs en soute et on file faire un sitting au fond du bus. Au début il ne nous voit pas mais forcément quand le bus est plein et qu'il manque des places, il vient vérifier. Il veut nous mettre dehors mais on lui montre notre ticket, on lui « explique » (en fait on lui hurle) que son collègue nous a laissé ici comme des malpropres et qu'on bougera pas, et il cède ! Le fait aussi de voir 3 barbouses en colères l'a fait flippé !
Bref, après 3 heures passées assis dans l'allée centrale sur des sièges plastiques certainement volés à la crèche, on arrive enfin à Ho Chi Minh !