Ou Saigon
Pour trouver un logement on est allé vers un quartier touristique pas cher, et derrière les hôtels, dans les petites ruelles, des particuliers proposent de louer une chambre dans leur (petite) maison pour environ 8-10$ la nuit !
On se retrouve donc chez une mama Viet adorable, qui parle pas un mot d'anglais, et qui nous propose des petits biscuits « made in Europe » ; vous savez ces grosses boites carrés et métalliques qu'on voit à Noël ! Bon, ça devait faire longtemps que la boite était ouverte car ils étaient un peu rance (et le fabricant n'avait pas forcément prévu un stockage longue durée dans une ville avec 90% d'humidité), mais c'était très sympa de sa part ! Et puis ça faisait tellement longtemps qu'on avait pas mangé ce type de biscuits que même rance on les a apprécié !
Elle avait aussi un chien assez... moche, n'ayant pas peur des mots ! On aurait dit un tonneau avec 4 pates et une langue qui pend.
Comme d'hab on a fait un tour au marché et on le sens commerçant des Vietnamiens est... particulier ! Tout sourire quand tu arrives, mais dès que tu dis que tu ne vas pas acheter le masque tombe et des paroles (insultes?) en Viet s'en suivent.
Et les prix qu'ils nous annoncent sont exorbitants... Ils nous prennent vraiment pour des lapins de 6 semaines !
Comme on dit qui ne tente rien n'a rien, mais au bout d'un moment c'est la goutte d'eau qui fait monter la moutarde !
Comme à Phnom Penh, on a continué sur notre lancé des visites joyeuses avec le musée de la guerre , anciennement appelé « musée du Génocide Américain », mais ça faisait pas trop vendeur auprès des habitants de chez l'oncle Tom...
Y est exposé des engins militaires US (avions, hélicos, chars...) des bombes... et dans le musée on peut visiter différentes parties : la propagande, les photos de la guerre, les explications sur les armes chimiques utilisée comme l'agent orange (avec photos à l'appui pour faire des cauchemars) ; bref, ça n'a pas été jojo tout ça, mais très intéressant.
Par contre on ressent bien le message: regardez ce qu'ont fait les « méchants Américain » aux pauvres « petits Vietnamiens »... Pas très objectif en somme.
On se retrouve donc chez une mama Viet adorable, qui parle pas un mot d'anglais, et qui nous propose des petits biscuits « made in Europe » ; vous savez ces grosses boites carrés et métalliques qu'on voit à Noël ! Bon, ça devait faire longtemps que la boite était ouverte car ils étaient un peu rance (et le fabricant n'avait pas forcément prévu un stockage longue durée dans une ville avec 90% d'humidité), mais c'était très sympa de sa part ! Et puis ça faisait tellement longtemps qu'on avait pas mangé ce type de biscuits que même rance on les a apprécié !
Elle avait aussi un chien assez... moche, n'ayant pas peur des mots ! On aurait dit un tonneau avec 4 pates et une langue qui pend.
Comme d'hab on a fait un tour au marché et on le sens commerçant des Vietnamiens est... particulier ! Tout sourire quand tu arrives, mais dès que tu dis que tu ne vas pas acheter le masque tombe et des paroles (insultes?) en Viet s'en suivent.
Et les prix qu'ils nous annoncent sont exorbitants... Ils nous prennent vraiment pour des lapins de 6 semaines !
Comme on dit qui ne tente rien n'a rien, mais au bout d'un moment c'est la goutte d'eau qui fait monter la moutarde !
Comme à Phnom Penh, on a continué sur notre lancé des visites joyeuses avec le musée de la guerre , anciennement appelé « musée du Génocide Américain », mais ça faisait pas trop vendeur auprès des habitants de chez l'oncle Tom...
Y est exposé des engins militaires US (avions, hélicos, chars...) des bombes... et dans le musée on peut visiter différentes parties : la propagande, les photos de la guerre, les explications sur les armes chimiques utilisée comme l'agent orange (avec photos à l'appui pour faire des cauchemars) ; bref, ça n'a pas été jojo tout ça, mais très intéressant.
Par contre on ressent bien le message: regardez ce qu'ont fait les « méchants Américain » aux pauvres « petits Vietnamiens »... Pas très objectif en somme.
Allez, il est temps de continuer à remonter non pas le temps mais la côte vers le nord!